10 questions à poser à un infirmier
François est mentor Academos et infirmier depuis deux ans. Il termine actuellement sa deuxième année de baccalauréat en sciences infirmières à l’UQAR. À temps perdu (difficile de perdre du temps lorsqu’on travaille et qu’on étudie en même temps), il aime voyager, faire de l’athlétisme et du vélo. Pourquoi est-il devenu infirmier? C’est simple: parce qu’il aime se sentir utile, il apprécie le domaine de la santé et privilégie le contact humain et l’empathie avant tout!
Academos lui a posé 10 questions primordiales sur son parcours.
Des questions par rapport au domaine de la santé?
1. En quoi consiste ta job?
Je suis infirmier et mon rôle change souvent en fonction des milieux où je travaille. En ce moment, je travaille aux urgences: je fais l’évaluation principale des patients lorsqu’ils se présentent au triage. J’évalue leur condition générale, j’administre les soins d’après les prescriptions du médecin. J’exécute aussi les traitements recommandés et je surveille la condition des patients de près, pour voir s’il y a du progrès ou si la situation est critique. J’effectue également le suivi des patients une fois qu’ils sont transférés à un autre département.
2. Plus jeune, te voyais-tu dans ce métier? Si oui, ça correspond à tes attentes? Sinon, que voulais-tu faire comme métier?
En fait, je me suis vu dans ce métier à environ 16 ans. C’est à ce moment que j’ai fait un stage d’un jour. Je savais que je voulais travailler en santé, mais c’est vraiment ce stage qui a confirmé mon choix. J’ai quand même pris le temps d’y penser pendant deux ans avant de m’inscrire au Cégep!
3. Comment es-tu devenu infirmier? Quel a été ton parcours?
J’ai commencé par faire mes études au Cégep en soins infirmiers. Cela m’a permis de travailler comme infirmier tout de suite après mes 2 années d’études; ainsi j’ai travaillé dans un hôpital et par deux fois aux urgences. Pour parfaire mes connaissances et m’ouvrir plus de portes, je fais présentement un baccalauréat à l’UQAR, tout en travaillant au CISS Bas-Saint-Laurent.
4. Qu’est-ce qui te fait le plus triper dans ta job?
Ce que j’aime le plus de ma job, c’est vraiment le travail d’équipe! C’est étonnant ce qu’on peut accomplir ensemble. Ensemble, on peut améliorer la qualité de vie des gens, les soigner et même leur sauver la vie. C’est pour cela que dans mon emploi, c’est important de bien communiquer et prendre le relai puisque plusieurs équipes se relaient sur le même dossier.
5. Quelle est la chose qui t’a le plus marqué dans ton parcours?
En fait, sur tout mon parcours, je me rendu compte que je me suis amélioré très vite; un peu à ma surprise, j’ai bien et vite progressé! Entre mon premier stage et la fin de mon parcours, j’étais capable de voir à quel point je m’étais amélioré et à quel point j’ai progressé. Je suis convaincu que le fait d’avoir choisi un métier que j’aime m’a vraiment propulsé dans ma progression.
6. À quels préjugés as-tu fait face?
Je n’ai pas vraiment fait face à des préjugés, mais j’avoue que j’étais bien entouré. Mes mentors m’ont beaucoup encouragé.
7. Quel autre métier aurais-tu choisi?
Si je n’avais pas été infirmier, j’aurais probablement été vers les métiers en technologie de l’information ou peut-être même vers la cuisine! J’avais fait des stages dans ces domaines, mais finalement, c’est le métier d’infirmier qui m’avait le plus interpellé.
8. Pour toi, quels sont les besoins du futur en sciences de la vie?
Selon moi, on aurait besoin de personnes qui s’impliquent de plus en plus en recherche et développement. On aura aussi besoin d’enseignants pour apprendre à la relève les rouages du métier et pour les accompagner dans leurs parcours.
9. As-tu eu ou as-tu encore des mentors? pourquoi?
Mes professeurs au Cégep ont été mes principaux mentors: ils m’ont enseigné et accompagné dans mon parcours. À l’époque, je ne connaissais personne dans ce domaine et c’est vraiment eux qui m’ont guidé vers le métier de mes rêves.
10. Quels conseils donnerais-tu aux futurs infirmiers?
Avant tout, je conseille de faire un stage ou de suivre un mentor pour voir vraiment en quoi consiste la job. Ça permet de voir l’expérience réelle des infirmiers et d’ainsi confirmer son choix de manière sûre et judicieuse. Cettejournée de stage est en général une bonne indication de comment tu vas t’épanouir dans le métier. Les cours et la théorie c’est bien, mais la pratique permet de concrétiser l’idée que tu te fais du métier.
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