Les fourmis constituent la famille des Formicidae (ou formicidés en français) et, avec les guêpes et les abeilles, sont classées dans l’ordre des hyménoptères, sous-ordre des Apocrites. Ces insectes eusociaux forment des colonies, appelées fourmilières, parfois extrêmement complexes, contenant de quelques dizaines à plusieurs millions d’individus. Certaines espèces forment des supercolonies à plusieurs centaines de millions d’individus. Les termites, parfois appelés fourmis blanches pour leur ressemblance formelle et comportementale, sont de l’ordre des dictyoptères (sous-ordre des isoptères) mais ne sont pas de proches parents.
Les sociétés des fourmis ont une division du travail (polyéthisme d'âge et de caste), une communication entre individus et une capacité à résoudre des problèmes complexes. Ces analogies avec les sociétés humaines ont depuis longtemps été une source d'inspiration et le sujet d'études scientifiques.
En 2013, plus de 12 000 espèces ont été répertoriées2,3 mais il en reste probablement des milliers encore à découvrir. Famille cosmopolite (elle a colonisé toutes les régions terrestres à l'exception du Groenland et de l'Antarctique), elle atteint une grande densité dans les milieux tropicaux et néotropicaux4. Bien que les fourmis représentent moins d'un pour cent des espèces d'insectes, la masse de la myrmécofaune5 excède le poids de l'humanité et cette masse conjuguée à celle des termites représente le tiers de la biomasse animale de la forêt amazonienne6.
Shout to all my lost boys
Sh-sh-sh-sh-sh-shout to all my lost boys
We rowdy
Shout to all my lost boys
Sh-sh-sh-sh-sh-shout to all my lost boys
We rowdy
Shout to all my lost boys
Sh-sh-sh-sh-sh-shout to all my lost boys
We rowdy
Shout to all my lost boys
Sh-sh-sh-sh-sh-shout to all my lost boys
Bangarang! Bass!
Bangarang
You feel the
Bangarang
You feel the bass
Bangarang
You feel the
Bangarang
You feel the bass
Ayy!
Lost boys
Sh-sh-sh-sh-sh-shout to all my lost boys
We rowdy
Shout to all my lost boys
Sh-sh-sh-sh-sh-shout to all my lost boys
Bangarang!
Shout to all my lost boys
Sh-sh-sh-sh-sh-shout to all my lost boys
We rowdy
Shout to all my lost boys
Sh-sh-sh-sh-sh-shout
Ayy! Ayy! Bangarang! Bass!
You feel the
You feel the
You feel the
Bangarang. Bass!
Shout to all my lost boys
Sh-sh-sh-sh-sh-shout to all my lost boys
We rowdy
Shout to all my lost boys
Sh-sh-sh-sh-sh-shout to all my lost boys
We rowdy
Shout to all my lost boys
Sh-sh-sh-sh-sh-shout to all my lost boys
We rowdy
Shout to all my lost boys
Sh-sh-sh-sh-sh-shout to all my lost boys
Bangarang! Bass!
Shout to all my lost boys
Sh-sh-sh-sh-sh-shout to all my lost boys
We rowdy
Shout to all my lost boys
Sh-sh-sh-sh-sh-shout to all my lost boys
We rowdy
Shout to all my lost boys
Sh-sh-sh-sh-sh-shout to all my lost boys
We rowdy
Shout to all my lost boys
Sh-sh-sh-sh-sh-shout to all my lost boys
Bangarang! Bass!
You feel the
You feel the
Bangarang
You feel the
Bangarang
You feel the bass
[Sirah:]
Hey, still ain't got my marbles, but I got these beats banging out the back of my toy car
Aye yo! I'm eating fun-dip right now, not giving a fudge
Un cancer (ou tumeur maligne) est une maladie caractérisée par une prolifération cellulaire (tumeur) anormalement importante au sein d'un tissu normal de l'organisme, de telle manière que la survie de ce dernier est menacée. Toutes ces cellules dérivent d'un même clone, cellule initiatrice du cancer qui a acquis certaines caractéristiques lui permettant de se diviser indéfiniment. Au cours de l'évolution de la maladie, certaines cellules peuvent migrer de leur lieu de production et former des métastases. Pour ces deux raisons, le dépistage du cancer doit être le plus précoce possible.
« Cancer » est un terme général désignant plusieurs maladies qui ont en commun le fait que certaines cellules d'un organisme adoptent un comportement anormal caractérisé par :
une indépendance vis-à-vis des signaux qui stimulent normalement la multiplication des cellules ;
une insensibilité aux signaux et mécanismes anti-prolifératifs ;
une capacité proliférative qui n'est plus limitée (croissance à l'infini) ;
la disparition du phénomène d'apoptose ;
une capacité anormale à susciter l'angiogenèse ;
et l'acquisition d'un pouvoir invasif et de production de métastases.
Les nouvelles cellules résultantes, dites « cancéreuses » ou « tumorales », peuvent former une tumeur maligne (un néoplasme) ou se propager à travers le corps.
Les facteurs de risques sont internes (génome, mutation, etc.), induction par un agent infectieux, etc. et/ou externes (alimentation, exposition à des substances cancérigènes ou à des conditions telles que l'irradiation, etc.). Le nombre de multiplication des cellules d'un tissu donné au cours de la vie est fortement corrélé au risque de cancer, d'après une étude publiée dans Science et portant sur 31 localisations possibles du cancer les 2/3 de la variation du risque (et non pas les 2/3 des cas de cancers comme l'ont souvent rapportée les médias) entre ces localisations s'expliqueraient par des mutations aléatoires, le reste se partageant entre facteurs environnementaux et génétiques.
Des facteurs hormonaux, et épigénétiques sont possibles. Des études scientifiques concluent que seul 5 à 10 % des cas de cancer sont uniquement attribués à des facteurs génétiques contre 25 à 30 % au tabagisme, 30 à 35 % aux régimes alimentaires (dont l'alcool), 15 à 20 % aux infections, et 10 à 25 % à d'autres facteurs environnementaux (rayons ionisants, stress, activité physique insuffisante, pollution de l'environnement). Comme toute pathologie le cancer est le résultat d'une interaction complexe entre l'environnement et l'individu, or les recherches actuelles ont du mal à identifier des facteurs de risques génétiques uniquement liés à un facteur environnemental ou comportemental. Certaines études mettent par exemple en relief certaines prédispositions génétiques du cancer qui ne favoriseraient l'apparition de la maladie qu'en cas de facteur externe : les obèses diabétiques ne seraient pas tous égaux face au risque de cancer selon leurs gènes. Des études futures vont sans doute permettre de mieux comprendre l’interaction entre l'environnement et la génétique.
Plusieurs types de cancers semblent en augmentation. Si dans certains cas cette progression est liée à des facteurs de risque identifiés (tabac, alcool, polluants industriels reconnus cancérigènes, obésité, sédentarité, exposition au soleil), il est difficile dans certains cas d'attribuer à des facteurs précis l'augmentation observée. L'amélioration des outils de diagnostic et le vieillissement de la population expliquent une part importante de la progression de l'incidence de certains cancers. À l'inverse, une étude de l'Institut de veille sanitaire montre que les cancers de l'estomac, de l’œsophage (chez l'homme), du col de l'utérus et le lymphome hodgkinien ont régressé entre 1980 et 2000.
wow
wowww
wooooow
interessant
jaime
se site a eu une progression enorme
fascinant
se site a eu une progression enorme
magique
gros-big <3
demain p-o machine 1v1 au ping pong
voyons!!!! quelle est ce commentaire
cool
tu pus
je vous souhaite de l'amour dans votre petit coeur. Jvous aime
vous etes comme une famille pour moi je demande rien de moins que vous que dieu vous bénisse
Les fourmis constituent la famille des Formicidae (ou formicidés en français) et, avec les guêpes et les abeilles, sont classées dans l’ordre des hyménoptères, sous-ordre des Apocrites. Ces insectes eusociaux forment des colonies, appelées fourmilières, parfois extrêmement complexes, contenant de quelques dizaines à plusieurs millions d’individus. Certaines espèces forment des supercolonies à plusieurs centaines de millions d’individus. Les termites, parfois appelés fourmis blanches pour leur ressemblance formelle et comportementale, sont de l’ordre des dictyoptères (sous-ordre des isoptères) mais ne sont pas de proches parents.
Les sociétés des fourmis ont une division du travail (polyéthisme d'âge et de caste), une communication entre individus et une capacité à résoudre des problèmes complexes. Ces analogies avec les sociétés humaines ont depuis longtemps été une source d'inspiration et le sujet d'études scientifiques.
En 2013, plus de 12 000 espèces ont été répertoriées2,3 mais il en reste probablement des milliers encore à découvrir. Famille cosmopolite (elle a colonisé toutes les régions terrestres à l'exception du Groenland et de l'Antarctique), elle atteint une grande densité dans les milieux tropicaux et néotropicaux4. Bien que les fourmis représentent moins d'un pour cent des espèces d'insectes, la masse de la myrmécofaune5 excède le poids de l'humanité et cette masse conjuguée à celle des termites représente le tiers de la biomasse animale de la forêt amazonienne6.
interessant
qui croit que Skrillex y'est ben smattttt parce qu'il fait des bon beat comme bangarang
"Bangarang"
(feat. Sirah)
Shout to all my lost boys
Sh-sh-sh-sh-sh-shout to all my lost boys
We rowdy
Shout to all my lost boys
Sh-sh-sh-sh-sh-shout to all my lost boys
We rowdy
Shout to all my lost boys
Sh-sh-sh-sh-sh-shout to all my lost boys
We rowdy
Shout to all my lost boys
Sh-sh-sh-sh-sh-shout to all my lost boys
Bangarang! Bass!
Bangarang
You feel the
Bangarang
You feel the bass
Bangarang
You feel the
Bangarang
You feel the bass
Ayy!
Lost boys
Sh-sh-sh-sh-sh-shout to all my lost boys
We rowdy
Shout to all my lost boys
Sh-sh-sh-sh-sh-shout to all my lost boys
Bangarang!
Shout to all my lost boys
Sh-sh-sh-sh-sh-shout to all my lost boys
We rowdy
Shout to all my lost boys
Sh-sh-sh-sh-sh-shout
Ayy! Ayy! Bangarang! Bass!
You feel the
You feel the
You feel the
Bangarang. Bass!
Shout to all my lost boys
Sh-sh-sh-sh-sh-shout to all my lost boys
We rowdy
Shout to all my lost boys
Sh-sh-sh-sh-sh-shout to all my lost boys
We rowdy
Shout to all my lost boys
Sh-sh-sh-sh-sh-shout to all my lost boys
We rowdy
Shout to all my lost boys
Sh-sh-sh-sh-sh-shout to all my lost boys
Bangarang! Bass!
Shout to all my lost boys
Sh-sh-sh-sh-sh-shout to all my lost boys
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Shout to all my lost boys
Sh-sh-sh-sh-sh-shout to all my lost boys
We rowdy
Shout to all my lost boys
Sh-sh-sh-sh-sh-shout to all my lost boys
We rowdy
Shout to all my lost boys
Sh-sh-sh-sh-sh-shout to all my lost boys
Bangarang! Bass!
You feel the
You feel the
Bangarang
You feel the
Bangarang
You feel the bass
[Sirah:]
Hey, still ain't got my marbles, but I got these beats banging out the back of my toy car
Aye yo! I'm eating fun-dip right now, not giving a fudge
niggggggggga
niggggggggga
birchchfchcfhc
Un cancer (ou tumeur maligne) est une maladie caractérisée par une prolifération cellulaire (tumeur) anormalement importante au sein d'un tissu normal de l'organisme, de telle manière que la survie de ce dernier est menacée. Toutes ces cellules dérivent d'un même clone, cellule initiatrice du cancer qui a acquis certaines caractéristiques lui permettant de se diviser indéfiniment. Au cours de l'évolution de la maladie, certaines cellules peuvent migrer de leur lieu de production et former des métastases. Pour ces deux raisons, le dépistage du cancer doit être le plus précoce possible.
« Cancer » est un terme général désignant plusieurs maladies qui ont en commun le fait que certaines cellules d'un organisme adoptent un comportement anormal caractérisé par :
une indépendance vis-à-vis des signaux qui stimulent normalement la multiplication des cellules ;
une insensibilité aux signaux et mécanismes anti-prolifératifs ;
une capacité proliférative qui n'est plus limitée (croissance à l'infini) ;
la disparition du phénomène d'apoptose ;
une capacité anormale à susciter l'angiogenèse ;
et l'acquisition d'un pouvoir invasif et de production de métastases.
Les nouvelles cellules résultantes, dites « cancéreuses » ou « tumorales », peuvent former une tumeur maligne (un néoplasme) ou se propager à travers le corps.
Les facteurs de risques sont internes (génome, mutation, etc.), induction par un agent infectieux, etc. et/ou externes (alimentation, exposition à des substances cancérigènes ou à des conditions telles que l'irradiation, etc.). Le nombre de multiplication des cellules d'un tissu donné au cours de la vie est fortement corrélé au risque de cancer, d'après une étude publiée dans Science et portant sur 31 localisations possibles du cancer les 2/3 de la variation du risque (et non pas les 2/3 des cas de cancers comme l'ont souvent rapportée les médias) entre ces localisations s'expliqueraient par des mutations aléatoires, le reste se partageant entre facteurs environnementaux et génétiques.
Des facteurs hormonaux, et épigénétiques sont possibles. Des études scientifiques concluent que seul 5 à 10 % des cas de cancer sont uniquement attribués à des facteurs génétiques contre 25 à 30 % au tabagisme, 30 à 35 % aux régimes alimentaires (dont l'alcool), 15 à 20 % aux infections, et 10 à 25 % à d'autres facteurs environnementaux (rayons ionisants, stress, activité physique insuffisante, pollution de l'environnement). Comme toute pathologie le cancer est le résultat d'une interaction complexe entre l'environnement et l'individu, or les recherches actuelles ont du mal à identifier des facteurs de risques génétiques uniquement liés à un facteur environnemental ou comportemental. Certaines études mettent par exemple en relief certaines prédispositions génétiques du cancer qui ne favoriseraient l'apparition de la maladie qu'en cas de facteur externe : les obèses diabétiques ne seraient pas tous égaux face au risque de cancer selon leurs gènes. Des études futures vont sans doute permettre de mieux comprendre l’interaction entre l'environnement et la génétique.
Plusieurs types de cancers semblent en augmentation. Si dans certains cas cette progression est liée à des facteurs de risque identifiés (tabac, alcool, polluants industriels reconnus cancérigènes, obésité, sédentarité, exposition au soleil), il est difficile dans certains cas d'attribuer à des facteurs précis l'augmentation observée. L'amélioration des outils de diagnostic et le vieillissement de la population expliquent une part importante de la progression de l'incidence de certains cancers. À l'inverse, une étude de l'Institut de veille sanitaire montre que les cancers de l'estomac, de l’œsophage (chez l'homme), du col de l'utérus et le lymphome hodgkinien ont régressé entre 1980 et 2000.