Oui oui, j'ai survécu.

La mi-session est ENFIN terminée et j’ai pu recommencer à respirer un peu. Je n’ai pas eu mes résultats encore, mais je pense que j’ai bien gérer malgré tout (j’espère en tout cas).

Mon dernier article était empreint d’un peu (beaucoup) de colère et de négativité, mais je reviens en force cette semaine avec quelque chose d’un peu plus joyeux parce que, je suis (très) bonne pour chialer, mais je suis quand même quelqu’un de positif dans la vie.

Je ne suis pas quelqu’un de stressée dans la vie en général, mais les deux dernières semaines, j’avais l’impression d’être constamment en état de panique. Par contre, après avoir bien réfléchie, j’ai réalisé que me mettre de la pression pour mes résultats scolaires était complètement INUTILE. Pourquoi ?

Parce que, oui l’école c’est extrêmement important, mais c’est pas tout dans la vie non plus. Comme vous le savez déjà, j’étudie en communication marketing à l’UQAM et j’ai beaucoup de doutes à propos de mon programme, mais comme vous le savez déjà aussi, j’ai un blogue (Les Enfants Modèles) et ça, j’ADORE m’en occuper sans aucun doute. De plus, je fais un stage chez Poches & Fils et j’aime vraiment le travail que j’accompli. Donc, c’est ce qui m’a amené à me dire que ce que je fais en ce moment : beaucoup trop de lectures, des millions de travaux d’équipe et des examens qui donnent mal à la main, tout ça, c’est pour investir en mon futur. J’ai beau ne pas «tripper» sur ce que je fais en ce moment, mais je sais que cela va me servir dans mes futurs emplois, mes projets, mes expériences, etc. Ce qui fait en sorte que je dois accepter et passer au travers d'un an et demi qu’il me reste.

Après tout, avoir A ou B-, ça fait pas une SI grosse différence. Ne pas avoir la meilleure moyenne du groupe c’est PAS la fin du monde. Puis, un coup libérée de la pression de performance, j’ai pu réaliser que j’aimais ce que je faisais. La communication, les réseaux sociaux, les relations publiques et le marketing, ça me passionne. Oui, pour l’instant, je dois faire de la recherche qui ne finie plus, des plans plates et travailler sur des sujets qui m’intéressent ZÉRO, mais, au moins, ça me donne de la pratique pour être prête lorsque je vais faire ce que j’aime réellement.

Ce petit pep talk que je me suis fait à moi-même m’a donné de l’énergie pour me préparer à la fin de session qui arrive quand même à grands pas. Donc, prochaine fois que vous vous sentez un peu découragé par l’école, faites juste vous rappelez que c’est seulement une partie de votre vie qui vous dirige vers ce que va vraiment être votre vie.

Sur ce, je m’en vais écrire mon prochain article pour mon blogue !

Bonne semaine,

Alexandra xx