4 points essentiels à aborder lorsqu’on parle d’Academos à un.e ami.e
Vous êtes mentor.e sur Academos depuis quelque temps déjà. À chaque fois qu’une personne de votre entourage vous demande : « Hey, j’ai vu que tu avais partagé une publication d’Academos. C’est quoi exactement? », vous ne savez pas trop par où commencer et encore moins comment décrire ce que ça mange en hiver un.e mentor.e d’Academos? On comprend tout à fait la situation, d’où l’idée de cet article.
Pour faire ça simple, on vous présente dans les prochaines lignes quatre arguments qui convaincront quiconque souhaitant se joindre à l’aventure Academos afin d’aider plus de jeunes à trouver un domaine, ou encore mieux, une profession qui les passionne.
1. Le bénévolat s’adapte à toi, pas l’inverse
Entre le métro-boulot-dodo, la partie de soccer des enfants et les 18 lunches à préparer chaque semaine, donner de son précieux temps à une cause ou un organisme qui nous tient à cœur peut devenir un véritable défi, et ce, même avec les meilleures intentions du monde. Et si on vous disait que le mentorat virtuel, ça se passe uniquement en ligne? Quelle surprise.
À travers ses multiples engagements, nous avons tous un 5 minutes qui traîne ici et là. Au lieu de scroller à l’infini sur une plateforme peu éducative, pourquoi ne pas répondre à jeune qui n’attend qu’à jaser avec un.e professionnel.le? Voilà, l’un des meilleurs arguments que vous pouvez dire à votre ami.e, collègue ou être cher qui vous répond : « Ah ouin, sauf que je n’ai pas vraiment de temps pour ça dans mon emploi du temps. »
2. Toutes les professions sont les bienvenues
Votre coiffeur.euse. Votre plombier.ère. Votre tattoueur.euse. Votre planificateur.trice financier. Peu importe ce que les personnes de votre entourage font dans la vie, il y a un jeune qui a des questions pour lui ou elle. Jusqu’à présent nous avons 3 200 mentors actifs sur Academos. Ce qui veut dire 3 200 professionnel.le.s qui ont une expertise à partager. Comme l’expression le dit si bien, « Ça prend toute sorte de monde pour faire un monde » et c’est la même chose sur Academos.
Bref, parlez-en aux professionnel.le.s autour de vous.
3. Chaque parcours est inspirant, quel qu’il soit
Du parcours typique à celui atypique, chaque parcours mérite d’être partagé. Lorsqu’on réfléchit à son propre parcours, il est fort possible qu’on ait l’impression que notre cheminement tant professionnel que personnel n’a rien de particulier. C’est normal, c’est notre parcours. Nul besoin d’avoir monté le Kilimandjaro trois fois ou d’avoir lancé sa première entreprise du haut de ses 13 ans pour avoir quelque chose à dire à un.e jeune en quête de son avenir. Ce parcours qui semble banal pour vous peut résonner pour vos futur.e.s mentoré.e, et ce, sans que vous le sachiez.
Ceci étant dit, lorsque vous jasez du fonctionnement de la plateforme avec vos ami.e.s, n’hésitez pas à mentionner cet aspect!
4. Jaser de sa profession, ça lui redonne tout son sens
Après plusieurs années à faire ce que l’on fait, on oublie parfois les raisons qui nous ont poussées vers cette avenue. Bien qu’on dédie entre 30 et 40 heures par semaine à notre travail, on oublie parfois la raison qui nous pousse à nous lever tous les matins. Partager les rouages de son métier à ses mentoré.e.s, c’est un moyen d’y remédier et de redonner un sens à ce que l’on fait. À travers les échanges, on réalise l’impact que notre profession peut avoir sur la société et ça nous donne un boost d’énergie pour attaquer notre To Do le lundi suivant.
Promis, cet argument convaincra le plus grand des sceptiques.